explore comment le risque de pénurie d’électricité chamboule divers secteurs de la société. Chez les radioamateurs, on reconsidère le hobby comme possible moyen de secours. » Sous tension

La Liberté

«Avec nos communications hertziennes, nous arriverons toujours à communiquer.» Patrik Glauser en est convaincu. Même en cas de black-out, lui et d’autres radioamateurs parviendront encore à échanger à distance. C’est ce constat qui a amené en 2020 cet habitant de Matran, avec trois collègues, à fonder l’Association romande radio secours (ARRS).

«Je percevais de plus en plus de fragilité dans les communications actuelles qui transitent par des serveurs», expose cet ancien monteur électricien, aujourd’hui collaborateur auprès de la Police cantonale genevoise. Forte de 25 membres, dont